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Petits bonheurs
21/04/2006 20:11

C'est dans la rosée des petites choses que le coeur trouve son matin et se rafraîchit
Commentaire de joceange (22/04/2006 00:19) :
très beau, on trouve sa rosée dans de petits bonheurs.
Bisous et bon week-end
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Commentaire de nanou (22/04/2006 09:25) :
bon week avec un grand soleil

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Pensée
21/04/2006 20:07

Tous peuvent entendre mais seuls les êtres sensibles comprennent
Khalil GIBRAN
Commentaire de royaume des mots (07/05/2006 21:04) :
slt, tu sais, khalil jabrane est mon écrivain préféré, t'as un tré
beau blog , bon debut de semaine.kiss.a+
http://royaume-des-mots.vip-blog.com
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Trouvé sur le net
20/04/2006 20:54
La reine des elfes
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Quand les joyaux enfin, éclairent son front pâle Comme les rosaces au fronton des cathédrales Epanchant leurs lueurs sur les figures pieuses Sais-tu alors combien sa vieille âme est heureuse ? Quand les rayons célestes apaisent ses tourments Et rapportent à son cœur l'éclat du firmament Quand l'appel du cosmos devient si intense Qu'elle en oublie jusqu'à sa propre consistance Quand les jardins ont pour elle un souffle divin Douce évocation d'un royaume sylvain Quand avec la rosée, ses doigts font un diadème Sais-tu quelle est son âme et à quel point elle aime ? Ô forets, ô esprits, vous qui touchez l'éther Qui d'autre sait le prix de son don à la Terre? Qui sait ce qu'elle a vu et laissé au zénith Où le corps est lumière, et l'esprit émérite? 
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Commentaire de joceange (21/04/2006 00:32) :
ton texte est magnigique, j'aime vraiment; je viens te souhaiter une
douce nuit au pays des rêves.
Bisous
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Commentaire de Boutchou (21/04/2006 14:10) :
Coucou
J'espère que tu vas bien ? Aujourd'hui ici, c'est super
soleil et ca fait un bien fou. Je viens te souhaiter une super belle
journée et je t'informe aussi que j'ai ouvert un nouveau blog
pour tous les gourmands. Bisous
http://boutchou.vip-blog.com
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Enchanteur
19/04/2006 22:18

Esprit de la forêt, farfadets et lutins, Eclairez moi, mon esprit est chagrin. Dans les troubles du matin, je me noie et je sombre. Mon âme, peu à peu, se remplit de ces ombres, Dérouté et pensif devant toutes ces questions, Je ne vois plus l'horizon, le chemin disparaît. Petit peuple, Dame du lac, réveillez l'Enchanteur, Je suis perdu, égaré, aveuglé par l'Amour. Ce n'est rien me dites vous! la souffrance est la vie, Mais sa beauté est céleste, elle est fille d'Avalon. Je l'avoue sans remords, j'ai envoûté une fée, Hypnotisé par sa grâce, le sort s'est retourné. Frères Druides, vous ne pouvez plus rien pour moi. Elle, seule, détient le pouvoir, de briser l’enchantement, Mais mon cœur ne veut pas, je ne puis l’effacer. Voudra t-elle, pour toujours, me garder à ses côtés ?
Eric BARDEL
Commentaire de Boutchou (19/04/2006 23:12) :
Ohhhhhh c'est gentil, je viens de m'apercevoir que tu avais mis
mon forum en lien, un gros bisoussssssssss et merci

http://boutchou.vip-blog.com
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Le sylphe
19/04/2006 22:11

L'aile ternie et de rosée humide, Sylphe inconnu, parmi les fleurs couché, Sous une feuille, invisible et timide, J'aime à rester caché.
Le vent du soir me berce dans les roses ; Mais quand la nuit abandonne les cieux, Au jour ardent mes paupière sont closes : Le jour blesse mes yeux.
Pauvre lutin, papillon éphémère, Ma vie, à moi, c'est mon obscurité ! Moi, bien souvent, je dis : " C'est le mystère Qui fait la volupté ! "
Et je m'endors dans les palais magiques, Que ma baguette élève au fond des bois, Et dans l'azur des pâles véroniques Je laisse errer mes doigts.
Quant tout à coup l'éclatante fanfare A mon oreille annonce le chasseur, Dans les rameaux mon faible vol s'égare, Et je tremble de peur.
Mais, si parfois, jeune, rêveuse et belle, Vient une femme, à l'heure où le jour fuit, Avec la brise, amoureux, autour d'elle Je voltige sans bruit.
J'aime à glisser, aux rayons d'une étoile, Entre les cils qui bordent ses doux yeux ; J'aime à jouer dans les plis de son voile Et dans ses longs cheveux.
Sur son beau sein quand son bouquet s'effeuille, Quand à la tige elle arrache un bouton, J'aime surtout à voler une feuille Pour y tracer mon nom...
Oh ! respectez mes jeux et ma faiblesse, Vous qui savez le secret de mon coeur ! Oh ! laissez-moi, pour unique richesse, De l'eau dans une fleur.
L'air frais du soir ; au bois, une humble couche ; Un arbre vert pour me garder du jour... Le sylphe, après, ne voudra qu'une bouche Pour y mourir d'amour !
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Charles DOVALLE
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